fanaski

Il y avait déjà une autre piste que l'olympique pour rejoindre Chantemerle. On va peut-être bientôt la retrouver.

Le Dauphiné aujourd'hui 28 Octobre 2009 conférence à serre-chevalier Sanjy Ramboatiana animera une conférence/débat sur l'incompétence dans le milieu professionnel ce lundi 30 novembre à 19h30 à Serre-Chevalier 1350, dans la salle du Serre d'Aigle (front de neige de Chantemerle). Sanjy Ramboatiana, auteur du livre "Vive l'incompétence" À qui s'adressent vos conférences et votre livre sur l'incompétence ? « Principalement aux entrepreneurs. À tous les chefs d'entreprise qui souhaitent trouver des solutions dans leur gestion des ressources humaines. Mais d'un point de vue plus général, mes propos touchent tous les travailleurs. Tout le monde, dans son travail, a, un jour ou l'autre, traversé un moment de stress, de conflit, d'urgence, de tensions, de démotivation qui sont des signes d'inaptitudes, de lacunes mal dissimulées qu'il convient d'accepter pour les transformer en atouts ». Toutes les incompétences se ressemblent-elles ? « La base de toutes les incompétences, c'est une erreur de perception. On est à côté de la plaque parce qu'on a mal perçu le problème. Ça arrive à tout le monde. Bonne nouvelle donc, nous sommes tous incompétents. Reste à s'en rendre compte pour créer, innover, faire évoluer sa carrière. Connaître ses points faibles, c'est une vraie force ». N'avez-vous pas peur que votre thèse fasse sourire et ne soit pas prise au sérieux ? « Derrière le thème qui peut effectivement faire sourire, il y a un message sérieux, avec des hypothèses que nous avons éprouvées. Je suis professeur à l'école de management (EM) de Lyon, je suis également directeur d'un cabinet conseil dans le secteur des ressources humaines et tout ce qui figure dans mon livre ou dont je débats en conférence est le résultat d'une fine analyse. Je ne me suis pas penché sur les lacunes du savoir mais sur les problèmes de savoir-être ». Propos recueillis par Yoann GAVOILLE Paru dans l'édition 05A du 28/11/2009

En regardant les webcams on constate que les perches crachent de la neige artificielle partout sur le domaine. Si la chute annoncée est importante, on pourra faire l'ouverture dans de bonnes conditions.

Sur le site suivant http://www.anena.org/videos_avalanche/videos.html on trouvera deux vidéos d'avalanches provoquées l'une par un snowboardeur et l'autre par un skieur. C'est assez impressionnant. La saison va débuter, soyez prudent pour que l'on continueTOUS à discuter ici ensemble

Voici les prévisions encourageantes du site météo 05. <<Vendredi et samedi, le courant perturbé d'ouest intéressera la moitié nord du pays mais descendra sur le sud assez rapidement. A l'avant, les éclaircies seront belles mais il fera plus frais. Le vent De sud-ouest à sud se lèvera et sera fort en montagne. l'iso zéro baissera de 2300 m a 1800 m. En fin de semaine, et surtout à partir de dimanche midi, une dépression s'isolera sur la France. Dans le flux de sud-est à l'avant, associée à une forte Lombarde froide, la Haute Durance devrait connaître sa première grosse chute de neige en vallée avec de fortes précipitations de neige démarrant à 1400m pour ce terminer à 800 m. Puis une amélioration fraîche de deux jours avec vent de nord-ouest se produira avant une nouvelle chute de neige.>> :yahoo:

Le site Météo 05 qui est très fiable, annonce une grosse chute probable pour dimanche

Superbes photos. Tu as réussi à faire du ski de rando ?

Bonsoir, je vais parler "du haut de mes 66 ans" Je trouve formidable que l'office du tourisme fasse un effort en direction des jeunes et j'approuve entièrement toutes les initiatives allant dans cette direction. Mais, car il y a un mais, s'il n'y avait que les jeunes, la station serait vide en semaine et tout le monde se plaindrait. Il faut donc des animations pour tous les ages et surtout pour toutes les bourses. En ce sens les festivals sont les bienvenus. Pourquoi revient-on dans une station ? Je pense d'abord parce que l'on s'y sent bien et que tous les membres d'une même famille peuvent trouver des animations qui leur conviennent. Il faut que les gens repartent en se disant "super séjour, on reviendra l'an prochain ou une autre fois dans l'hiver". En ce qui concerne les bus de nuit, c'est rassurant lorsque l'on vient avec des ados qui sortent le soir de savoir qu'un bus pourra les ramener tranquillement à la maison. D'une manière générale, il ne faut jamais être "contre" systématiquement mais regarder comment les choses se passent et les améliorer ou les supprimer le cas échéant. Faisons confiance à l'OT en restant vigilant. Oeuvrons pour que ce forum soit une source de propositions. Amitié à tous Paul

Cela me semble un peu tôt. C'est peut-être pour s'assurer de leur bon fonctionnement ?

Pour la troisème année consécutive, le club de Serre-Chevalier décroche la timbale du classement Top Afesa Banque Populaire des Alpes, classement établi sur les épreuves des chapionnats de France benjamins et benjamines aux Ménuires, et minimes filles et garçons aux Arcs. Mais plus fort que jamais, le club haut-alpin entraîné entre autres par une doublette de choc, le ticket Kevin Page et Benjamin Melquiond, bat pour cette saison 2008-2009 le record de points qu'il détenait avec 1393,22 points doublant pratiquement son total! Un résultat qui récompense le travail de formation et une certaine culture de la compétition. Mention spéciale à Estelle Alphand, minime première année qui remporte les titres en super G et slalom, et se classe seconde en géant. Les Saisies et Méribel sur la caisse Derrière mais à bonne distance, le SC Les Saisies (922 points) qui passe de la 4e place à la 2e grâce notamment à la famille Piccard dont la jeune génération place deux membres sur les huit du club qui ont marqué des points. Le SC Méribel se classe 3e (841,35) avec quinze skieurs classés, une belle perf collective. Le classement sera officillement proclamé lors du Critérium de la Première neige à Val d'Isère en décembre . CLASSEMENT: 1. CS Serre Chevalier 1393,22 points; 2. SC Les Saisies 922; 3. SC Méribel 841,35; 4. CS Flaine 763,52; 5. CS La Clusaz 603,35; 6. CS Les Houches 493,87; 7. SC Bourg-Saint-Maurice Les Arcs 454,32; 8. CS Megève 421,26; 9. SC Gap Orcières 400; 10. SC Arêches Beaufort 353,62....

Voici à télécharger en pdf le programme "neige de culture" pour animer les pistes cet hiver. A vos réactions !!!!! Neigesdeculture_c_.pdf

La piste des Pylônes, ce matin

SUPERBE Merci

Ce matin vers 10h : la draye, le stade de slalom et les pylônes

Sur Faceboock : Serre Chevalier Vallée : 80cm en haut du domaine... Il y a 5 heures ·

J'espère que la CDA garde un oeuil sur ce forum. Cela peut lui donner des idées. Reste, bien sûr, le problème du financement. Finalement, tout est histoire d'argent. Enfin, on peut, tout de même rêver !!!

Qu'elle semble belle cette neige à Bachas.

L'idée du TSF4 de la Balme est géniale. En effet, le soir pour rentrer de Monet sur Chantemerle se serait plus rapide. Espérons que la CDA retiendra ce projet.

Y aurait-il deja du monde sur les pistes !!!!!!!!

Voici la présentation de notre station faite le 16 décembre 1969 www.ina.fr/video/RAF03034069/presentation-de-la-station-de-ski-de-serre-chevalier.fr.html C'est magnifique Bonne visualisation

Serre Ratier ce matin

jolie vue : Ratier aujourd'hui

D'après les webcam, il doit neiger sur les hauteurs, peut-être pas en station. Fisc, toi qui es sur place, donne nous des informations. Merci

Le nouveau sigle que l'on voit, entre autre, au col de Meat veut dire : "neige de culture".

Un article paru dans le Dauphiné ce matin 30 octobre : MONTAGNE Des experts ont évalué l'impact environnemental et économique de la neige artificielle par La Rédaction du DL | le 30/10/09 à 05h04 Réchauffement climatique, développement durable et économie touristique semblent vouloir se télescoper autour d'une technologie en constante évolution depuis les années 60 : la neige de culture. Nathalie Kosciusko-Morizet, alors secrétaire d'État à l'Écologie, a demandé un rapport sur la neige de culture et son impact environnemental à trois membres du Conseil général de l'Environnement et du Développement durable (CGEDD). Leur constat est parfois surprenant pour un sujet touchant aussi directement à l'environnement. Les prélèvements d'eau, mal connus C'est à la "recommandation N°5" du rapport que la surprise apparaît en des termes qu'il convient, il est vrai, de décrypter. "La mission recommande à la direction générale de la prévention des risques (DGPR) d'interdire l'ajout d'additifs cryogènes dans l'eau de production de neige". Ce qui s'appelle un pavé dans la mare du développement durable. Il semblait pourtant que l'Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSM) ait proposé l'abandon des cryogènes dans sa charte développement durable et que toutes les stations assurent ne pas les utiliser. Dans ce cas, pourquoi une telle mention dans un rapport ministériel ? Pour ceux qui ne connaissent pas ces additifs "miracles", dont le plus connu est sans doute le "Snowmaxv", il s'agit d'une enzyme (INA) issue de la lyse d'une bactérie, qui favorise la cristallisation des molécules d'eau et donc, permet de fabriquer de la neige malgré des... températures positives ! Ce produit, vendu sous forme de granules - mais pas en France assure le fabricant, Genencor International inc. -, est fortement soupçonné par les associations environnementalistes (Frapna, Mountain Wilderness...), mais aussi des instituts scientifiques (Niosh, Insa, Cemagref...) de nocivité sur les micro-organismes des milieux naturels. Autre point aussi étonnant qu'inquiétant révélé par le rapport du CGEDD : l'impossibilité de connaître le véritable impact de la fabrication de neige de culture sur la consommation en eau. C'est d'ailleurs la recommandation N° 1 du rapport. "La mission recommande à la Direction de l'eau et de la biodiversité de faire effectivement appliquer les arrêtés qui imposent la mesure ou l'évaluation des volumes prélevés dans la ressource d'eau et la transmission des résultats au préfet (...) et de mettre en place un dispositif de télédéclaration annuelle des volumes prélevés". Il semble en effet que jamais, la mission n'est parvenue à connaître les réels prélèvements en eau, pas plus que les préfectures, d'ailleurs. Enfin, parmi les quelque 15 recommandations, on notera : des demandes de surveillance de l'impact de ces installations sur l'alimentation en eau potable des populations alentour ; des demandes de prévention des risques que peuvent causer les retenues collinaires sur les habitants en aval (débordements, avalanches) ; des mesures de l'impact en gaz à effet de serre (dans le cadre du Grenelle de l'environnement) dû à la production de neige de culture ; mais aussi une veille afin que les débits biologiques minima des torrents ne soient pas diminués par les prélèvements d'eau. En résumé, si ce rapport ne remet pas en cause la fabrication de la neige de culture - de plus en plus utile à la survie économique des stations de moyenne altitude -, il espère la voir plus encadrée juridiquement par les pouvoirs publics. REPÈRES La neige de culture en France Elle représente environ 20 % des domaines skiables. Les exploitants prévoient d'aller à 30 %, voire 40 %. Dans les Dolomites, c'est 80 % du domaine qui est concerné et 85 % à 100 % dans les stations américaines ! Le prix de cette neige Hors amortissement des installations, il faut compter 0,80 € par m³, soit 5 600 € par hectare, pour 70 cm d'épaisseur de neige. En investissements (hors retenues collinaires), la neige de culture représente 150 000 à 200 000 € par hectare enneigé, avec un amortissement généralement compris entre 20 et 30 ans. Une retenue collinaire de 60 000 m³ revient à environ 1,8 million d'euros. Le coût total du mètre cube de neige de culture peut donc s'estimer entre 2 et 2,50 € !