Zarthon

Je relance le sujet, désolé... :unsure: Mais pourquoi, diantre, n'a-t-on pas poussé la piste au dessus de la route avec une arrivée terminale au dessus de l'actuel parking. Franchement, ce retour à pied c'est d'un galère... On a envoyé un homme sur la lune, ne me dites pas que ce n'est (était) pas possible. Moralité, je laisse mon matos chez Lorette à G2, c'est d'ailleurs vraiment très pratique avec 2 gamins.

Même si Serre Chevalier reste ma station fétiche, je dois avouer que Montgenèvre a un charme certain et surtout énormément de soleil jusqu'à très tard. Avec des gamins c'est génial. Et puis la Voie lactée ça m'a fait réver étant môme :nananere: . Les JO 2006 lui ont donné un coup de fouet et le Maire se débrouille avec un certain succès. Un seul point négatif, la montée du col (derrière un camion ou un bus :angry: ). Et de sortir le vieux serpent de mer d'une liaison Briançon-Montgenèvre, la cité Vauban, et son accès ferroviaire, au centre de 650 km de pistes... OK je sors. :siffle:

Comme chaque année, Montgenèvre "dégaine" la première... avec toute la médiatisation et le buzz qui va avec. En attendant, Serre Che ronronne ? :siffle:

Tiens, j'aurais vu ça plus haut dans la combe :

Changement de nom ? Quelle idée saugrenue. Ce qu'il faut changer dans la vallée (en dehors de quelques mentalités étriquées) c'est la division communale. Ce que les visiteurs ne comprennent pas c'est que Serre-Chevalier soit à la fois Monêtier, La Salle, St-Chaffrey (éventuellement Briançon mais qui a sa renommée à part). Une station Serre-Chevalier, une commune Serre-Chevalier serait peut-être la vraie solution a ces problème récurrents de perception de l'intégrité de l'ensemble. Mais d'ici à ce que les édiles ou autre potentats locaux lâchent leurs (maigres) pouvoirs... <_<

Lancement d'une carte pour l'ensemble des domaines CDA: Sur le site du Figaro.fr Et si le lien ne marche plus : C'est une première dans les stations des Alpes. Dès l'hiver prochain, un nouveau forfait électronique permettra d'accéder indifféremment, et toute la saison, à huit grands domaines skiables de Savoie, Haute-Savoie et des Hautes-Alpes. Huit domaines skiables alpins accessibles avec un un seul forfait baptisé Holiski: c'est la nouveauté proposée aux fans de la glisse par la Compagnie des Alpes (CDA), premier exploitant mondial de champs de neige avec, l'hiver dernier, 18,1 millions de journées skieurs (+6,5%) et 328 millions d'euros de chiffre d'affaires (+ 8,5%) réalisés sur 17 domaines en France et à l'étranger. Holiski est une carte électronique payante (32€ la saison) au fonctionnement ultra-simple, calqué sur celui de la carte d'abonnement aux autoroutes. Il suffit de l'acheter sur Internet. On la reçoit alors par courier et elle est immédiatement utilisable. Plus besoin de passer par les caisses des remontées mécaniques ou de surfer sur la toile pour la créditer. Chaque début de journée de ski, le premier passage à une remontée déclenchera le débit et, à la fin de chaque mois, la consommation sera facturée en nombre de jours effectivement skiés et prélevée directement sur le compte en banque du titulaire. Le coût sera en outre, légèrement inférieur au tarif adulte à la journée en vigueur sur chaque domaine, 15% moins cher au minimum et jusqu'à 25% le samedi. Holiski n'est pas une première mondiale. La pionnière du genre est la carte pyrénéenne N'PY, valable depuis quelques années sur cinq domaines ((Peyragudes, Domaine du Tourmalet, Luz-Ardiden, Gourette, La Pierre-Saint-Martin). «Nous nous en sommes inspirés», reconnaît Eric Guilpart, le directeur du marketing de la Compagnie des Alpes. Toutefois, son nouveau sésame ouvre,lui, les pistes de domaines skiables comptant parmi les plus vastes au monde. En Savoie : l'Espace Killy (Val d'Isère et Tignes), Paradiski (Les Arcs, La Plagne, Peisey-Vallandry), Méribel-Les Allues et Les Menuires-Saint-Martin de Belleville. En Haute-Savoie : le Grand Massif (Flaine, Les Carroz, Morillon, Samoëns, Sixt-Fer-à-Cheval). Et dans les Hautes-Alpes : Serre-Chevalier. Comme tout système d'abonnement, celui-ci s'adresse aux grands consommateurs. «La formule est intéressante dès que l'on skie plus de huit jours par an», précise Eric Guilpart. En outre, on peut très bien co-skier avec la même carte : à l'inverse des forfaits de plusieurs jours, Holiski n'affiche pas la photo de son propriétaire. Lequel peut donc la prêter lorsqu'il ne l'utilise pas. Il lui suffira ensuite de se faire rembourser par son «locataire» la facture débitée sur son compte. La CDA mise sur la vente de plus de 100 000 cartes d'ici à trois ans.

Les paysages étaient superbes (tout ce vert...) avec de beaux névés en plus. Magnifiques en hélico, ces cartes postales télévisuelles ont fait parler (en bien) sur la Capitale. Et puis j'ai cru apercevoir mon ancien prof de Sciences Nat. au musée de la Mine du chemin de ronde... :victoire:

Ben, l'an dernier, on pouvait aller sur le Bachas avec le TS débrayable (j'ai même monté la luge des p'tits). Idem pour le TSD de la Casse (le Plateau de la Rouge et sa belle terrasse). Et bien sûr chez Lorette à G2 Briançon (là on peut même y aller à pied depuis Puy-St-Pierre).

Ha, le sujet rebondirait encore ? Mais de quelle source tenez vous cette info ?

J'ai fais un tour sur le site du gestionnaire qui parle effectivement de l'été 2008. 43 euros pour une famille de 2 adultes, 2 enfants tout cela pour deux heures... ma foi :unsure: Sinon ils ne sont pas très doués en cartographie. Serre-Che se retrouve presque dans la vallée du Rhône. Manque également un accent (et la Corse). :rolleyes:

Oui, c'est donc un peu ce que je disais plus haut. Je loue votre sens inée du débat, on a de suite du plaisir à venir sur ce forum. Ma famille a des origines paysannes, comme beaucoup dans la vallée, au Bez pour être précis... Alors franchement quand je lis ce genre d'analyse à deux francs six sous je reste dubitatif sur l'évolution possible de l'économie locale. Comme c'est demandé gentiment plus haut, fin de ce post donc. :blink:

Ho, vieux souvenir d'un projet d'étude lors de ma Terminale avec Mr Lestournelle. :rolleyes: Le sous-sol du Briançonnais regorge de charbon, mais les fractures des couches géologiques le rend difficile à l'exploitation. Néanmoins du XIXe siècle et jusqu'aux années 60, il y avait nombre de mines dans toute la vallée, la plupart du temps exploitées l'hiver (les sols y sont alors plus stables et l'eau de ruissellement moins abondante) par les paysans locaux. Certaines (dont celle des Eduits) étaient semi-industrielles. D'anciens térils (produits d'extraction non exploitables) sont visibles au dessus de La Salle, des Guibertes, du Pinet... On vous en dira plus ici : Page Mines Briançonnais

Désolé si j'exhume ce post... Développer une offre aussi bien hivernale qu'estivale est un devoir que l'ensemble des communes de la vallée doit prendre en compte. Un golf est, bien entendu, un des axes de ce developpement et de diversification des activités touristiques et de loisirs (cela profiterait aussi bien aux "locaux" qu'aux visiteurs) même si cela ne doit pas être le seul. Le golf est en plein développement en France (et en Italie) et devient un des choix majeurs d'une destination touristique. A ce titre, la création d'un vrai golf (un compact ne peut-être qu'une étape) sera nécessairement réclamé par l'ensemble des promoteurs et opérateurs touristiques (Club Med, Pierre&Vacances...) qui s'orientent désormais vers une clientèle plus (comment dire sans choquer...) hupée. Malheureusement de nombreux obstacles locaux, un foncier parcellaire de micro-terrains, un attachement visséral à des terres familiales et peut-être un manque de volonté politique, semblent nuire à l'aboutissement de ce projet. Les sites du Bez ou de Monêtier seraient pourtant idéaux pour un "vrai" 9 trous. Gageons que chaqu'un saura prendre ses responsabilités afin de faire entrer Serre-Chevalier dans le club des grands destinations touristiques alpines estivales (en hivernale, cela semble être le cas depuis bien longtemps déjà) comme Méribel, Megève ou Chamonix.

Exact... De mémoire, au niveau du deuxième virage de la RM. Le texte était (je crois) : Si vous tombez, piste voilette à 100 mètres" et une flèche vers la gauche. Ce panneau en bois (clouté au mélèze, est peut-être toujours là). Enfin, sans être une antiquité, je dis toujours la Violette ou plateau de la Rouge. Par bravade, habitude ou nostalgie, allez savoir ? Il y avait également le panneau noir à l'entrée de la Casse du Bœuf qui signalait l'extrême difficulté de la piste (à l'époque). En fait, je dois être effectivement une antiquité ! :wacko: HS mais du même type : le "Défense de trotter dans le passage des portes" est encore visible à l'entrée de la cité Vauban ! :rolleyes: