Aller au contenu
Forums Serre Chevalier Ski

Blétonet

Modérateurs
  • Compteur de contenus

    2 243
  • Inscription

  • Dernière visite

3 abonnés

Profile Information

  • Lieu
    Grenoble
  • Intérêts
    Ski

Visiteurs récents du profil

9 498 visualisations du profil

Blétonet's Achievements

Community Regular

Community Regular (8/14)

  • Conversation Starter Rare
  • Dedicated
  • First Post
  • Collaborator
  • Posting Machine Rare

Recent Badges

  1. Serre Ratier, avant le Blétonet. L’actuel Café Soleil était le restaurant du Club Méditerranée. Les dameuses étaient jaunes à l’époque (il y en a une devant la gare du téléphérique).
  2. Il y avait eu les 2 : une "télécabine" jusqu'au Col de la Cucumelle et une jusqu'à la Bergerie. Ces projets sont antérieurs à la construction du DMC. Au moment de la construction du DMC, seuls des télésièges étaient envisagés, mais l'idée d'un deuxième tronçon de DMC devait encore trotter dans les têtes. Je crois que j'en avais parlé par le passé sur ce forum dans "les projets d'autrefois" (les images ne sont plus en ligne à cause de la fermeture d'un hébergeur de photos de l'époque).
  3. Merci MGB35. Mais ce n'est rien à côté de mon livre ("70 ans de ski à Serre Chevalier").
  4. De la crête où passe la Draye, on distingue le TK de la Rouge sur cette carte postale postée en 1960. Il n'y avait semble-t-il pas encore le TK de l'Alpage quand la photo a été prise. Chantemerle, avec le téléphérique (2ème génération de cabines, la TC de Grand Alpe et le TSF3 des Souliers (2ème génération, avec la gare delta et les sièges goutte d'eau) : Le DMC avec la livrée originelle des cabines : Une vue intéressante : Il y a la piste des Éduits, mais pas encore le TSF de l'Aiguillette et la piste éponyme. La piste des Éduits avait été ouverte un an avant. Elle devait être prolongée jusqu'à Chantemerle. Le TSF de l'Aiguillette s'inscrivait dans un projet d'aménagement au départ de Saint-Chaffrey, qui devait relier Briançon à travers la forêt.
  5. Le téléski du Chazelay, fixe à l’époque. Il sera transformé en téléski débrayable ultérieurement.
  6. L'arrivée de la cabine (première génération) à Ratier. On distingue les cabrettes du téléphérique de service. En été, avec la 2ème génération de cabines (avec le TSF2 des Souliers 2ème génération, avec la gare delta et la TC de Grand Alpe) : Le nouveau téléphérique avec le Blétonet : Serre Ratier, avec le TK éponyme (2ème génération) et encore la 1ère génération de cabine sur le 2ème tronçon du téléphérique : Avec le 2ème génération de cabines : La TC de Grand Alpe. Au fond, on remarque que le TK du Bois des Coqs a déjà été doublé (1978) : L'arrivée du TK de la Forêt et le TK de la Rouge : Villeneuve. Le layon de la TC de Villeneuve/de l'Aravet avait déjà été élargi (pour accueillir un TSF de la place de l'Aravet jusqu'à Goudissard, mais qui ne sera jamais réalisé). On remarque la TC de Fréjus, ainsi que les TK de Mickey et de Borine. Le mur final de la Casse du Bœuf est le même qu'aujourd'hui. Il faut croire que ce mur a été abandonné un temps, avant de reprendre ce tracé lors de la construction du TSD4.
  7. Je ne crois pas que ce soit le cas de Serre Chevalier. Sauf erreur, la saison d'hiver génère encore davantage d'activité économique que la saison d'été. Par contre, ces dernières années, Serre Chevalier était la station de la CDA qui générait le plus important chiffre d'affaires en été, devant Tignes (qui a pourtant encore un peu de ski d'été) (je ne sais pas ce qu'il en était quand les 2 Alpes étaient encore dans le giron de la CDA). À voir ce qu'il en sera avec Pralognan, rare station de montagne qui réussit à équilibrer ses saison d'hiver et d'été à l'heure actuelle. C'est normal de se montrer exigeant envers sa station de cœur. Mais il est parfois intéressant de comparer avec ce qui se fait ailleurs quand il y a trop de Serre Che bashing, ça aide à relativiser
  8. Nouveaux lits chauds ne signifie pas automatiquement accroissement de l'urbanisation. Au premier ordre, c'est déjà la transformation de lits existants mais devenus froids en lits redevenus chauds. Pour la rénovation de l'immobilier existant, très rapidement après son arrivée à Serre Che, la CDA/SCV a proposé un système de rénovation des appartements, sans frais pour les propriétaires, puis de mise en location (gérée par CDA/SCV) pour que les lits redeviennent chauds (permettant à CDA/SCV d'amortir l'investissement dans la rénovation). Cela n'a pas été un succès. Il y a même quelques résidences de tourisme qui ont fermé et sont aujourd'hui abandonnées. Alors oui, c'est peut être rageant, mais nous ne sommes pas en dictature et il ne faut donc pas jeter la pierre à SCV et à la CDA. Notons que les nouveaux projets immobiliers ne conduisent pas toujours à un étalement urbain. Par exemple, au Sporting, le nouvel immeuble avait été construit en lieu et place de l'ancienne piscine, donc sans accroître l'étalement urbain. L'étalement urbain est de toute façon contrôlé par le PLU. Pour ce qui concerne la neige de culture : Dans tout travail, il faut du temps pour faire avancer des dossiers et tous les dossiers ne peuvent pas être traités simultanément. Il n'est donc pas surprenant que ce dossier ait été dissocié de celui relatif à la TC du Pontillas. Ceci étant, même s'il s'agit d'un dossier dissocié d'avec la TC du Pontillas, les effets cumulés (en fonction de la définition de l’article R122-5 CE) ont été analysés par SCV, comme le reconnaît la MRAe au paragraphe 2.4. Sur le sujet des effets cumulés, la MRAe a émis une recommandation. SCV a répondu à toutes les recommandations de la MRAe dans ce document disponible pour l'enquête publique : https://www.hautes-alpes.gouv.fr/contenu/telechargement/24965/210751/file/Note_réponse_MRAe_Méa.pdf
  9. Aya et Lauzières ouvrent pendant les vacances scolaires de Noël et de février, mais ne font en effet jamais concurrence au Bachas.
  10. La deuxième génération de cabines du téléphérique, la TC de Grand Alpe, ainsi que la deuxième génération du TSF2 des Souliers, avec la gare delta (et des sièges "goutte d'eau"). Lorsque ce TSF sera remplacé par le TSD3 du Blétonet, cette gare delta ainsi que les sièges "goutte d'eau" sera récupérée par Montaz pour construire le TSF2 du Grand Serre, qui mixait donc des éléments Poma avec des équipements Montaz (pylônes). À l'époque, on pouvait se garer aux pieds des pistes de Chantemerle.
  11. La MRAe a écrit : "Face aux évolutions climatiques en cours, l'étude n'aborde aucune autre alternative que la production de neige de culture et ne prend pas en compte la tension que l'intensification de cette production fait et fera peser sur la disponibilité de la ressource en eau sollicitée et la préservation des usages prioritaires (qui augmentent eux aussi avec la poursuite de l’urbanisation)." Je ne suis pas surpris que l'étude n'aborde aucune autre alternative que la production de neige de culture, et je suis par contre un peu surpris que la MRAe relève cela (souhaitait-elle que SCV parle de snow farming ? La MRAe ne le précise pas). Il est en effet question de palier un risque de faible enneigement sur des pistes importantes, et on voit bien de nouveau le besoin dès ce début de saison. Pour la disponibilité sur la ressource en eau, la MRAe écrit au paragraphe précédent : "Selon le dossier, l’extension des surfaces à enneiger implique un besoin en eau supplémentaire d’environ 95 700 m3 et indique que « les autorisations de prélèvement existantes permettraient de couvrir ces nouveaux besoins […] la SCV s'engage à ne pas dépasser les 700 000 m3 de prélèvement pour l’ensemble des installations sur son domaine »". Il est également stipulé dans les notes de bas de page : "Les consommations annuelles d’eau pour la neige de culture avec l’équipement actuel des pistes sont présentées depuis l’hiver 2015-2016. Elles varient entre 482 000 et 705 000 m³ par an environ selon les années." SCV a donc indiqué clairement que l'enneigement artificiel des pistes concernées se fera sans solliciter d'augmentation de l'autorisation de prélèvement. En d'autres termes, l'enneigement de ces pistes se fera parfois au détriment de celui d'autres pistes. Il n'y a donc pas à proprement parler d'intensification de la production. Quant à savoir s'il y a ou aura un conflit entre l'autorisation de prélèvement de 700 000 m3 mettra et la préservation des usages prioritaires (c'est-à-dire, principalement la disponibilité en eau potable), je pense que ce n'est pas à SCV de répondre. Clairement, il n'y a pas de conflit aujourd'hui. C'est un sujet pour le territoire, de bien dimensionner son bilan de disponibilité/utilisation d'eau, pas pour l'exploitant du domaine skiable qui est limité à un volume maximum et qui le respecte bien (sur 10 ans, on ne remarque qu'un dépassement ponctuel de 0,7%, et parfois une consommation de seulement 69% du quota alloué). Notons qu'il y a quelques années, SCV avait déjà pris le partie de démonter le TSF4 du Rocher Blanc originel pour le remplacer par l'actuel sur un tracé plus court, remontant la gare aval de 2086 à 2260 m d'altitude, justement pour ne pas avoir à enneiger des pistes supplémentaires exposées plein sud. Les skieurs que nous sommes avions regretté cette décision à l'époque, du fait de la perte de pistes. De même, à un moment où les 2 Alpes ont terrassé une piste bleue de retour station mal exposée et l'ont enneigée, SCV a abandonné les projets de pistes de Goudissard et des Combettes, justement pour ne pas avoir à intensifier sa production de neige de culture sur des pistes à basse altitude (ce qui conduit à des pistes retours stations pour les petits skieurs - Briance, route de l'Aravet, bas de la piste du Marteau, route de Fréjus - toujours indignes de la station). Dans le même ordre d'idées, notons que Courchevel a reprofilé et enneigé une piste descendant à 1250 m d'altitude afin de l'utiliser pour des championnats du monde de ski et pour les JOP, alors qu'une piste ne descendant qu'à 1440 m d'altitude existait déjà à Méribel, déjà utilisée pour des coupes du monde, championnats du monde et lors des JO de 1992. Ce n'était pas autorisé jusqu'il y a peu en France, mais il est désormais possible d'utiliser directement l'eau issue des stations d'épuration pour irriguer des cultures et enneiger des pistes de ski. Villard-de-Lans a ainsi transformé sa plus grande retenue collinaire en station d'épuration et utilise l'eau épurée pour enneiger des pistes, dans un contexte de disponibilité en eau bien plus compliqué qu'à Serre Chevalier (du fait du massif karstique du Vercors). S'il venait à y avoir une tension sur la disponibilité en eau à Serre Chevalier - ce qui n'est pas le cas pour le moment - c'est une solution qui serait envisageable. Précisément, il est écrit : "La MRAe recommande de justifier le choix de l’équipement en neige de culture des secteurs Méa et Cucumelle/Eychauda par un bilan et une modélisation de l’utilisation de la ressource en eau pour la production de neige de culture. La MRAe recommande également d'intégrer dans le dossier une analyse prospective des priorités d’enneigement à l’échelle de l’ensemble du domaine skiable, prenant en compte les impératifs de sobriété et d’anticipation pour s’adapter au changement climatique." La recommandation de la MRAe n'est donc pas tout à fait "d'expliquer l’intérêt même du projet". L'intérêt même du projet, on le voit bien en ce début d'hiver, et ce n'est malheureusement pas la première fois. Dit grossièrement, la MRAe recommande (elle ne l'impose pas) à SCV de détailler quel est le volume en eau qui pourrait être nécessaire pour enneiger les pistes concernées et, comme SCV s'est engagé à ne pas dépasser son quota alloué, comment SCV gèrerait ce volume d'eau pour assurer l'enneigement du domaine skiable. SCV a déjà une priorisation d'enneigement des pistes (par exemple, l'enneigement de Myrtilles est prioritaire sur l'enneigement de Saludes, cela de la piste des Vallons est prioritaire sur celui de la Draye, etc.). Il est d'ailleurs écrit dans le rapport de la MRAe : "Le dossier indique que, dans le cas où l’apport en neige naturelle serait faible sur le secteur et en période sèche, « le domaine skiable de Serre Chevalier a étudié un scénario pour limiter la production en retirant les secteurs en bas de vallée afin de prioriser l’enneigement en altitude ». Cette alternative permettra, selon le dossier, dans une optique d’adaptation au changement climatique, des fermetures occasionnelles de pistes posant des problèmes d’enneigement." Précisément, la MRAe a écrit : "L’étude présentée, qui semble essentiellement destinée à démontrer la nécessité de continuer voire d’intensifier la production de neige de culture sur le haut de la station [...]" En pratique, ce n'est pas surprenant que SCV justifie la nécessité de continuer la production de neige de culture et d'enneiger de nouvelles pistes sur le haut de la station dans ce dossier, puisque c'est bien ce qu'elle souhaite faire et que c'est bien un besoin. Pour la mise en perspective par rapport au réchauffement climatique, la MRAe souligne toutefois que "Le dossier étudie la vulnérabilité du projet au changement climatique sur la base de l’étude Climsnow réalisée pour le domaine skiable de Serre Chevalier et aux données DRIAS."
  12. Le problème est que des lits autrefois chauds sont devenus froids, voire ont disparu. On comprend bien que SCV ne peut investir alors que le nombre de lits de la station diminue. La DSP a donc été agréée en ce sens avec les communes.
  13. Dans la DSP, sa construction est conditionnée à de nouveaux lits chauds. Espérons que la nouvelle grande résidence à la place du centre équestre fera avancer le sujet.
  14. Villeneuve avant la TC de Fréjus et l’urbanisation associée : Un peu plus tard, avec la TC de l’Aravet :
×
×
  • Créer...

Important Information

En utilisant ce site, vous acceptez nos Conditions d’utilisation. Ce site utilise des We have placed cookies on your device to help make this website better. You can adjust your cookie settings, otherwise we'll assume you're okay to continue. .