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Jo Pelvoux Ecrins 2018


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Paru ce matin dans le Dauphiné:

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Le comité de soutien à la candidature de Pelvoux-Les Écrins pour l'organisation des Jeux olympiques d'hiver de 2018 vient d'économiser, en une matinée, la somme de 135 millions d'euros ! Dans leur quête de Jeux écolos et économes, Jean-Marc Passeron et consorts ont scellé leur partenariat avec la direction du Torino Olympic Parc (Top), la commune de Cesana et celle de Pragelato.

Une économie de 135 millions d'euros

Si d'aventure Pelvoux-Les Écrins obtenait ces jeux, il n'y aurait pas besoin de construire une piste de bobsleigh, luge, skeleton de 80 millions d'euros ni des tremplins de saut pour 35 millions d'euros. Stefano Bompard, le directeur des installations post-olympiques turinoises s'est félicité de ce rapprochement franco-italien : « ça nous fait vraiment très plaisir de participer à cette aventure ». Un satisfecit partagé par Roberto Serra, le maire de Cesana et par Franco Capra, le maire de Clavière.

Se servir de l'expérience des organisateurs de Turin 2006

« C'est important d'avoir le soutien des communes italiennes » s'est également réjoui Cyrille Drujon d'Astros, le président de la communauté de communes des Écrins. D'autant que « nous comptons beaucoup sur leurs conseils et leur savoir-faire » a ajouté le député Joël Giraud.

« Une candidature de montagnards »

Guy Hermitte, le maire de Montgenèvre, commune limitrophe avec l'Italie n'est pas étranger à cette déclaration de soutien de ses voisins transalpins : « Nous avançons dans notre travail, avec sérieux et conviction. Mais j'estime que c'est plus facile de fédérer nos forces avec cette candidature de territoire, une candidature de montagnards, de stations de sports d'hiver. En revanche, c'est plus compliqué pour une baie plus au sud de la France où l'on pratique le ski... nautique ! »

Briançon pourrait se rallier

Passée cette petite banderille à l'attention de la candidature niçoise , Guy Hermitte a rappelé qu'il ne s'agissait « pas d'une candidature d'hommes politiques. Il faut avoir la moindre intelligence de présenter une candidature de manière unie. Et j'espère que la communauté de communes du Briançonnais et la ville de Briançon vont nous suivre. J'en appelle de mes voeux ».

Selon toute vraisemblance, Alain Bayrou devrait faire une annonce en ce sens dans les prochains jours.

Annonce des sites retenus en janvier

En visite toute la journée d'hier sur les différents sites candidats et/ou pressentis pour accueillir d'éventuelles épreuves, les membres du comité de soutien ont fait savoir que l'annonce définitive et officielle des sites retenus aurait lieu dans le courant du mois de janvier. La décision du Comité nationale olympique français (CNOSF) est attendue pour le mois de mars 2009.

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La suite aujourd'hui

Chantal Eyméoud, maire d'Embrun, a annoncé hier le soutien de sa ville à la candidature de Pelvoux aux JO de 2018. « Nous n'avions pas vocation à suppléer Gap, mais la candidature de Pelvoux-Pays des Ecrins sort du lot, elle est originale, explique Mme Eymédou. Embrun s'engage dans la course car il faut jouer le jeu de la solidarité avec cette commune des Hautes-Alpes. Nous serons à leur côté, nous avons donné notre accord de principe à Jean-Marc Passeron pour accueillir les épreuves de patinage artistique à Embrun. Nous allons nous attacher à dresser les grandes lignes de ce projet pour lequel nous délibèrerons lors du prochain conseil municipal le 11 décembre au sujet de notre soutien et accord de principe. Notre engagement sera d'accueillir la construction d'une patinoire olympique couverte le plus proche possible du centre-ville. Les détails concernant la structure et la capacité n'ont pas encore été déterminés. Il faudra cependant qu'elle soit grandement subventionnée pour pouvoir être réalisée. C'est un projet majeur pour les Hautes-Alpes et Embrun sera là avec sérieux, engagement pour réussir ».

De notre correspondant local MARC MORBELLI

Paru dans l'édition 05A du 03/12/2008 (20211)

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Le Dauphiné

Le comité de candidature Pelvoux Écrins 2018 s'est regroupé, comme tous les lundis, pour faire un point sur l'avancement de la candidature. À cette occasion, les membres du comité ont présenté le nouveau slogan : "Le retour aux sources" et le nouveau logo validé par le CIO. « Avec le logo, nous avons voulu représenter le côté montagne, les gens qui se regroupent... Nous le voulions simple et épuré, à l'image de cette candidature », précise Cyrille Drujon d'Astros, le président du comité. Quant au slogan, « c'est une initiative de Gérard Sémiond, le maire de Pelvoux. Le retour aux sources entre dans le cadre du développement durable, des JO nature en montagne et des valeurs que nous voulons véhiculer », explique le député maire, Joël Giraud.

Les actions de promotions

Raphaël Faure, directeur de l'office du Pays des Écrins, a ensuite présenté les actions de promotions mises en place. À savoir, des partenariats avec les patinoires installées pour l'hiver à Sisteron, Manosque, Digne et Istres, mais également des animations dans les stations du Nord du département. Le point fort de ces animations : le 24 décembre à Pelvoux, avec la présentation définitive des sites pour les jeux olympiques.

Enfin, Jean-Marc Passeron a conclu, « nous n'avons pas à rougir des autres candidatures, car nous sommes à la hauteur de l'enjeu ».

De notre correspondant local MARIE PIERRE TICHET

Paru dans l'édition 05A du 09/12/2008 (20498)

Pour voir le logo

http://www.ledauphine.com/pelvoux-ecrins-2...p;article=79608

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Sympa le logo.

Je ne savais pas qu'il fallait l'aval du CIO.

Je croyait que chaque ville candidate proposait son produit, qu'ensuite le CNOSF choisissait une ville et qu'enfin le CIO élisait la ville gagnante.

  • 3 weeks later...
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Dernier article paru

JO 2018

Pelvoux-Ecrins: les 21 sites olympiques choisis présentés

par La Rédaction du DL | le 25/12/08 à 08h01

Le comité de pré-candidature de Pelvoux-Ecrins 2018 a dévoilé hier la liste définitive des sites choisis pour les épreuves. Les porteurs du projet maintiennent toutefois le suspense sur les communes sélectionnés pour accueillir les cérémonies d'ouverture et de clôture. Le lac de Serre-Ponçon et ses gradins naturels est-il toujours dans la course ? Le mystère reste entier. Hier, on parlait plutôt de Saint-Crépin, peut-être en raison de l'espace offert par son aérodrome.

Les 21 sites olympiques sont situés sur 16 communes des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence et du Piémont italien (lire également en pages sports). « La grande force de notre candidature, c'est que tous les sites se trouvent dans un rayon de 40 kilomètres à vol d'oiseau là où les autres villes candidates seront obligées d'avoir des sites éloignés de 150 à 200 kilomètres » commente Joël Giraud, député-maire de L'Argentière-la-Bessée.

« Nous avons déjà gagné dans les esprits »

« Nous avons déjà gagné en terme de retombées et dans les esprits » se félicite Jean-Marc Passeron, président de l'association qui porte la candidature depuis quatre ans. « On a la capacité d'emporter cette primaire, d'autant que les Alpes du Nord ont déjà eu les Jeux à trois reprises. C'est au tour des Alpes du Sud maintenant » assure-t-il en développant les atouts de la candidature « du retour aux sources ». La moins budgétivore et la plus respectueuse de la planète. « L'inverse des JO de Vancouver où les premiers sites sont à 200 kilomètres des lieux d'hébergement des athlètes qui vont être transformés en bêtes de somme » estime Joël Giraud.

« Un consensus historique »

« L'heure est maintenant à la mobilisation des habitants et des vacanciers » souligne Jean-Marc Passeron. Une tournée "Tous en piste autour de Pelvoux-Ecrins 2018" parcourt actuellement les Hautes-Alpes (le 25 décembre aux Orres, le 26 à Montgenèvre, le 27 à Briançon, le 28 à Risoul, le 29 à Puy-Saint-Vincent, le 31 à Serre-Chevalier).

Max Brémond, maire de Risoul, qui accueillera le ski acrobatique, se réjouit de l'unanimité autour de cette candidature : « Sur le plan humain, on avait jamais vu un tel consensus autour d'un projet dans les Hautes-Alpes et l'Ubaye. Il suffit de se rappeler des déboires autour de l'autoroute. Cet enthousiasme restera ».

Briançon se rallie à Pelvoux

Le dernier site validé est aussi un des plus emblématiques. Le conseil municipal de Briançon a entériné mardi soir le soutien de la ville la plus importante du Briançonnais aux JO de Pelvoux-Ecrins. Un seul conseiller municipal de la majorité s'est abstenu, sans expliquer publiquement sa position. En cas de victoire, Briançon accueillerait le village olympique et le hockey sur glace dans une patinoire de 12 000 places, dont la moitié provisoires.

« Briançon est intéressée à plus d'un titre à cette candidature, qui reconnaît notre place dans le sport de glace de haut niveau » a expliqué le maire Alain Bayrou, pendant la réunion du conseil municipal. « Il y aurait pu y avoir une ville candidate plus crédible, comme Briançon ou Serre-Chevalier. J'aurais aimé que ce soit Briançon mais le classement au patrimoine de l'Unesco et nos difficultés financières rendaient cette candidature difficile » reconnaît le premier magistrat, qui réclame « un soutien franc, entier et massif ». Jusqu'à la dernière minute, Alain Bayrou était attendu à Pelvoux hier midi pour participer à la présentation des sites olympiques. Le maire de Briançon a finalement fait faux bond, retenu par son entreprise. Il n'était pas là pour la photo de famille avec les autres maires.

Luc CHAILLOT

Paru dans l'édition 05A du 25/12/2008 (20815)

  • 4 weeks later...
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JO D'HIVER 2018

81 % des Haut-Alpins du Nord favorables à la candidature de Pelvoux

par La Rédaction du DL | le 20/01/09 à 07h01

A la veille de la soutenance de son dossier devant le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) demain à Paris, le comité de pilotage de Pelvoux-Ecrins 2018 peut se féliciter des résultats d'une enquête qu'il a commandée à l'institut de sondage Ifop.

Les réponses aux questions posées à un échantillon de 505 personnes de la deuxième circonscription des Hautes-Alpes les 6 et 7 janvier derniers confortent les porteurs de la candidature de Pelvoux à la primaire franco-française. «Nous avons l'adhésion de la population puisque 81% des habitants sont favorables aux Jeux Olympiques d'hiver dans notre région en 2018.»

Voici les résultats de ce sondage.

«Êtes-vous favorable ou défavorable à la candidature de notre région derrière Pelvoux aux Jeux Olympiques d'hiver de 2018?»

81% des personnes interrogées ont répondu oui. Parmi elles, 48% y sont très favorables. 19% disent non, dont 10% qui sont très défavorables. Le sondage révèle que les jeunes y sont majoritairement favorables (96% des 18-24 ans). Comme les professions libérales, les cadres supérieurs, les artisans, les commerçants et les employés et ouvriers (84%). Sur le plan géographique, le canton de Briançon nord est en tête (90% de favorables) devant celui du Monêtier-les-Bains (89%). Celui de L'Argentière-la-Bessée est plus mitigé, tout en étant largement acquis (75% favorables). Comme celui de Guillestre (76%).

«Pensez-vous que l'amélioration du réseau ferroviaire et routier est une priorité en cas d'obtention éventuelle des Jeux Olympiques?»

89% des sondés pensent que c'est une priorité. Cette question est prioritaire pour les 50-64 ans (96%). Elle l'est moins pour les 18-24 ans (81%). Les habitants dont les professions nécessitent des déplacements (artisans, commerçants, professions libérales et cadres supérieurs) y sont favorables à plus de 90%. Tout comme les habitants des cantons d'Embrun (92%) et Guillestre (90%). Les Champsaurins se sentent légèrement moins concernés (80%).

«Êtes-vous favorable ou défavorable au choix d'une candidature économe tournée vers le développement durable?»

Dans leur ensemble, les sondés sont favorables à 82%. Les moins de 35 ans sont plus sensibles à une candidature environnementale (89% de favorables) que les personnes de plus de 65 ans (75%). Les professions libérales et les cadres supérieurs sont "pour" à 90%. Les habitants des communes de plus de 2 000 habitants y voient également plus d'avantages (85%). Comme ceux des cantons de Briançon nord, Embrun et Le Monêtier-les-Bains (86%). Ceux de L'Argentière-la-Bessée et Guillestre le sont moins (73% de favorables).

«Êtes-vous favorable ou défavorable à une collaboration avec nos voisins italiens?»

La question évoque la mise à disposition de la piste de bobsleigh de Cesana et les tremplins de Pragelato, réalisées pour les Jeux Olympiques de Turin en 2006 et qui permettraient d'effectuer une économie de 183 millions d'euros selon les porteurs du projet.

Ce n'est pas une surprise, la quasi totalité des sondés (92%) y sont favorables, la totalité des 18-24 ans. Les professions libérales et les cadres supérieurs sont "pour" à 98%. Les inactifs y voient moins d'intérêt (75% de favorables). Le canton de Briançon nord y est favorable à 97%, celui d'Embrun à 95%.

«Pensez-vous que la région Provence-Alpes-Côte d'Azur doit obtenir la candidature française sachant que la région Rhône-Alpes a déjà eu trois fois les Jeux?»

78% des personnes interrogées disent "oui". Les 18-24 ans sont plus chauvins (88%) que les 50-64 ans (74%). 86% des cadres supérieurs et professions libérales le pensent également. Comme 84% des habitants d'Embrun.

Posté(e)

Les oraux des 4 candidats aux JO 2018 viennent de s'achever à l'instant, on pouvait les voir en streaming sur le site du CNOSF.

Passage réussi pour Pelvoux, sans doute le plus dynamique des 3 (Annecy avec Grospiron c'était pas mal aussi). Grenoble qui passait en premier, c'était par contre d'une tristesse :blink:

Je mettrais des captures d'écran dans la soirée sur mon blog et une sur la zone d'arrivée de la casse du boeuf sur le forum

GO PELVOUX :nananere:

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J'espère que ça va le faire !

Si j'avais su que c'était diffusé en direct j'aurais jeté un coup d'œil en cours cette après midi ! :D

PS : Au fait, très sympa ton blog Marmotte.

Posté(e)

Si j'avais su que c'était diffusé en direct j'aurais jeté un coup d'œil en cours cette après midi ! :D

Jojo, c'est le prof qui parle !!!!!!!!!, quand on est en cours on ne fait pas autre chose.......

Allez, très amicalement

Posté(e)
PS : Au fait, très sympa ton blog Marmotte.

Merci, merci... :rolleyes:

Bon, après deux heures de boulot, mon article est en ligne avec les fameuses captures d'écran..

Voila la seule sur Serre Che pour présenter le village du CIO, qui est en fait le club med :siffle:

(Guy Drut s'interrogeait sur ce qu'était le village du CIO car c'est la première fois que ce nom était employé, si ça c'est pas une question à la con...)

ecran_serreche.jpg

On aperçoit la zone arrivée des courses alpines prévues sur la piste de la casse du boeuf.

Par contre, qu'est-ce que les zones bleues ?

Posté(e)

JO 2018

Pelvoux abat ses cartes, sans aucun complexe

Bien malin qui peut dire ce matin quelle sera la décision du Comité national olympique et sportif, lorsqu'il devra choisir, le 18 mars, la ville qui défendra les couleurs de la France dans la course aux JO de 2018.

Une chose est sûre : Pelvoux n'a pas fait pâle figure hier après-midi, à Paris, en présentant son dossier devant les décideurs du sport français. « Nous sommes venus devant vous avec conviction et certitudes. Nous voudrions que vous entendiez battre le coeur des Haut-Alpins », a lancé Guy Hermitte, très combatif maire de Montgenèvre.

La délégation, conduite par Jean-Marc Passeron, avait choisi d'articuler sa présentation autour d'un jeu de prises de paroles successives, orchestré par Nathalie Simon. L'ancienne championne de planche à voile, devenue animatrice télé, a parfaitement tenu son rôle de présidente du club des ambassadeurs de la candidature.

Installée à Marseille, elle symbolisait aussi, avec le médaillé olympique de judo Jean-Paul Coche, qui représentait le maire de Marseille, l'implication de la capitale régionale derrière la candidature de Pelvoux... largement préférée par la cité phocéenne à celle de la rivale niçoise.

« Nous sommes la candidature de quatre départements, les Hautes-Alpes, les Alpes-de-Haute-Provence, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône » a souligné Jean-Marc Passeron.

Une présentation orchestrée par Nathalie Simon

L'équipe de candidature a largement insisté sur le caractère « différent et innovant » de son projet, « dont il faut d'abord retenir l'absence d'impact sur le plan écologique. Nous avons pris bien soin de ne rien prévoir, évidemment, dans les zones centrales des parcs nationaux. Mais nous avons également laissé volontairement de côté les parcs régionaux, les zones Natura 2000 et même la vallée de la Clarée » a insisté Jean-Marc Passeron.

« La voie olympique ferroviaire, qui reliera Chorges à Briançon, représente une véritable première en matière de desserte des sites », s'est enthousiasmé Joël Giraud, député-maire de l'Argentière-la-Bessée, et président du groupe montagne à l'Assemblée nationale. « Et au-delà des JO, cet équipement sera à terme un maillon essentiel de l'axe européen Milan-Barcelone » a-t-il détaillé. Comme pour devancer les questions des membres du CNOSF, soucieux -à juste titre- de la réutilisation des infrastructures.

Une question de David Douillet sur l'accord avec l'Italie

Des questions, il y en a eu également sur le caractère transfrontalier du projet. Pelvoux prévoit d'organiser les épreuves de saut à Pragelato et celles de bob, luge et skeleton sur la piste de Cesana. Autant d'équipements qui avaient été édifiés pour les jeux de Turin (2006) et dont la qualité est reconnue par tous les spécialistes. Plusieurs représentants de la capitale piémontaise avaient d'ailleurs fait le déplacement jusqu'à Paris.

« La charte olympique nous autorise totalement à passer ce type d'accord avec un pays étranger » a expliqué Guy Hermitte, maire de Montgenèvre et fin connaisseur des arcanes de l'olympisme, pour répondre à une interrogation de David Douillet.

« Spero lucem, -nous espérons la lumière- » a dit Joël Giraud, en désignant le cadran solaire de l'église de Pelvoux, reproduit sur le dossier de presse distribué à la fin de la présentation. Pour la trouver, le chemin sera long. Mais Pelvoux n'a pas raté le premier virage.

REPÈRES

L'ARTICULATION

DU PROJET

Identifié à Pelvoux, le projet s'appuie en réalité sur tout le nord du département, incluant même Barcelonnette. Il prévoit notamment des épreuves de ski à Serre-Chevalier, Montgenèvre et aux Orres. Un site central (ouverture, clôture, village de presse) à Montdauphin, des épreuves de glace à L'argentière, Embrun et Briançon. La sous-préfecture accueillerait également le village olympique, sur le site des casernes.

Paru dans l'édition 05A du 22/01/2009 (21072)

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    • L'arrivée de la cabine (première génération) à Ratier. On distingue les cabrettes du téléphérique de service. En été, avec la 2ème génération de cabines (avec le TSF2 des Souliers 2ème génération, avec la gare delta et la TC de Grand Alpe) : Le nouveau téléphérique avec le Blétonet : Serre Ratier, avec le TK éponyme (2ème génération) et encore la 1ère génération de cabine sur le 2ème tronçon du téléphérique : Avec le 2ème génération de cabines : La TC de Grand Alpe. Au fond, on remarque que le TK du Bois des Coqs a déjà été doublé (1978) : L'arrivée du TK de la Forêt et le TK de la Rouge : Villeneuve. Le layon de la TC de Villeneuve/de l'Aravet avait déjà été élargi (pour accueillir un TSF de la place de l'Aravet jusqu'à Goudissard, mais qui ne sera jamais réalisé). On remarque la TC de Fréjus, ainsi que les TK de Mickey et de Borine. Le mur final de la Casse du Bœuf est le même qu'aujourd'hui. Il faut croire que ce mur a été abandonné un temps, avant de reprendre ce tracé lors de la construction du TSD4. 
    • L'information était sortie dans un Montagne Leaders récent (< 2 ans), donc donnée par les acteurs de la vallée. L'idée du partenariat pour la rénovation pourrait être relancée car la conscience du public et les enjeux d'aujourd'hui ne sont plus les mêmes qu'en 2004. Pas de Serre Che Bashing de ma part, simplement des constats d'évolution que je fais depuis que j'y viens, soit il y a 20 ans. De plus, ce que les autres font n'est pas nécessairement le modèle à imiter, SCV en a un peu conscience avec l'abandon de nouvelles pistes en bas du domaine. La progression doit se poursuivre sur le sujet immobilier. Aujourd'hui l'urbanisme de Briançon touche presque Saint-Chaffrey, lui-même presque Chantemerle tandis qu'avec Villeneuve la limite est plus que tenue. Monetier a construit un centre de vacances et de nombreux chalets de luxe. Chantemerle a construit le hameau du Rocher Blanc, agrandi le Grand Hôtel et continue de construire au Villard Laté. Briançon vient d'ouvrir 2 hôtels 4* et va ouvrir un centre pour les tours operators de la CDA. Villeneuve a eu Odalys et dernièrement MMV. Quand on voit les bouchons dans la vallée été et hiver, c'est une limite très visible du modèle. La voie olympique améliorera l'offre de bus mais suffisamment ? Je crois qu'il faudrait être plus ambitieux pour la vallée sans obligatoirement se cacher derrière les autres. On l'a fait avec les ENR pourquoi pas sur le sujet immobilier?
    • Je ne crois pas que ce soit le cas de Serre Chevalier. Sauf erreur, la saison d'hiver génère encore davantage d'activité économique que la saison d'été. Par contre, ces dernières années, Serre Chevalier était la station de la CDA qui générait le plus important chiffre d'affaires en été, devant Tignes (qui a pourtant encore un peu de ski d'été) (je ne sais pas ce qu'il en était quand les 2 Alpes étaient encore dans le giron de la CDA). À voir ce qu'il en sera avec Pralognan, rare station de montagne qui réussit à équilibrer ses saison d'hiver et d'été à l'heure actuelle. C'est normal de se montrer exigeant envers sa station de cœur. Mais il est parfois intéressant de comparer avec ce qui se fait ailleurs quand il y a trop de Serre Che bashing, ça aide à relativiser 😉
    • Nouveaux lits chauds ne signifie pas automatiquement accroissement de l'urbanisation. Au premier ordre, c'est déjà la transformation de lits existants mais devenus froids en lits redevenus chauds. Pour la rénovation de l'immobilier existant, très rapidement après son arrivée à Serre Che, la CDA/SCV a proposé un système de rénovation des appartements, sans frais pour les propriétaires, puis de mise en location (gérée par CDA/SCV) pour que les lits redeviennent chauds (permettant à CDA/SCV d'amortir l'investissement dans la rénovation). Cela n'a pas été un succès. Il y a même quelques résidences de tourisme qui ont fermé et sont aujourd'hui abandonnées. Alors oui, c'est peut être rageant, mais nous ne sommes pas en dictature et il ne faut donc pas jeter la pierre à SCV et à la CDA. Notons que les nouveaux projets immobiliers ne conduisent pas toujours à un étalement urbain. Par exemple, au Sporting, le nouvel immeuble avait été construit en lieu et place de l'ancienne piscine, donc sans accroître l'étalement urbain. L'étalement urbain est de toute façon contrôlé par le PLU. Pour ce qui concerne la neige de culture : Dans tout travail, il faut du temps pour faire avancer des dossiers et tous les dossiers ne peuvent pas être traités simultanément. Il n'est donc pas surprenant que ce dossier ait été dissocié de celui relatif à la TC du Pontillas. Ceci étant, même s'il s'agit d'un dossier dissocié d'avec la TC du Pontillas, les effets cumulés (en fonction de la définition de l’article R122-5 CE) ont été analysés par SCV, comme le reconnaît la MRAe au paragraphe 2.4. Sur le sujet des effets cumulés, la MRAe a émis une recommandation. SCV a répondu à toutes les recommandations de la MRAe dans ce document disponible pour l'enquête publique : https://www.hautes-alpes.gouv.fr/contenu/telechargement/24965/210751/file/Note_réponse_MRAe_Méa.pdf
    • A mon avis, on ne peut pas faire grand chose localement. Une loi nationale ? Pff, je ne sais que penser car plus on encadre les choses, moins on les rends fluide. Des incitations financières à la location ? Le prix des biens grimpera en flèche, la spéculation aussi et donc il n'y aura pas besoin de louer pir que ce soit rentable. Des pénalités pour les lits froids ? A creuser mais attention aux conséquences néfastes. Je n'ai vraiment aucune idée de comment faire. 
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